Dans l'Ecclésiaste, l'auteur s'interroge souvent sur le sens de la vie et l'apparente futilité des efforts humains. Ce verset exprime un sentiment selon lequel ceux qui sont morts sont libérés des luttes et des douleurs que les vivants doivent endurer. Il reflète un moment de contemplation existentielle, où l'auteur considère les fardeaux de la vie et la paix que la mort pourrait apporter. Cette perspective n'est pas destinée à glorifier la mort, mais à susciter une réflexion sur la nature de l'existence humaine et les défis que nous rencontrons.
Le verset invite les lecteurs à réfléchir à leur propre vie et aux manières dont ils font face aux difficultés. Il suggère que, bien que la vie puisse être difficile, elle représente également une opportunité de rechercher un sens et un épanouissement plus profonds. Ce passage encourage une compréhension plus large du but de la vie, exhortant chacun à trouver la joie et le contentement même face à l'adversité. En contemplant les luttes de la vie, on peut apprécier les moments de bonheur et s'efforcer de vivre une vie riche en sens et en connexion avec les autres.